Florence Cherrier cultive l’anonymat numérique à travers des blases divers et autres brasiers.
J’apprécie les bifurcations et les carrefours de formation initiale d’éducation spécialisée avec des pratiques artistiques. J’ai pris les départementales et tangentes de l’hybridation du travail social et créatif.
J’accompagne des groupes, et collectifs dans la création sonore et radiophonique. Fan de direct et de studios mobiles, je vous envoie des bonnes ondes.
Croisement de ce qui fait signifié et signifiant le travail social, les activités militantes, la solitude et le collectif. J’ai un jardin sauvage, une voiture, une maison -toujours ouverte – le plus beau des kayaks Croustibato et j’aime les palindromes et l’idée de peut-être un jour sans retour vieillir à Laval. L’amour est plus fort que tout.